CHTI

CR de Nyco

57 kms en 3h30 !! Triste moyenne. (16,5). Après DIE/GAP, ça fait bizarre !!
Je suis arrivé sur un tard, je suis donc partie avec le troisième départ.
Avantage, c’est que ça ne bouscule pas, mais il faut très vite ce placer pour éviter de ce retrouver avec les enfants devant dans le premier single.
Le temps est mi figue mi raisin. Difficile de savoir si ce sera soleil ou pluie. Enfin de compte, maussade avec quelques éclaircie et sans pluie.
La veille au soir je me suis tâté pour changer mes pneus, et puis enfin de compte, étant très proche de Boulogne, je me suis dit que ça devrait être sable et cailloux, donc pas trop de boue. Erreur fatale, c’était bien bras ! Le Mousquito c’est avéré très vite débordé, occasionnant un pilotage très hasardeux, et le Baracouda très collant. Enfin, ça roule quant même ! Le paysage est vraiment sublime dans ce coin la. Il ne manque pas non plus de dénivelé. Super fléchage, j’ai fait juste une petite boulette qui ne m’a pénalisé, par contre, je suis probablement passé a coté d’un bon single. Dans un village, je chope un je ne sais quoi dans le pneu arrière, il y a une boulle de caoutchouc rouge qui dépasse ??? En fait, il s’agit un clou de couvreur avec la gomme pour l’étanchéité. Un bon 6 cm de longue. Je n’ai pas le choix, je le retire en espérant que le préventif face son travaille, je repart, mais après quelques kilomètre, je suis contraint de regonfler. Le bouboursse que je suis, j’ai oublié ma pompe. J’attend de tomber sur un biker équipé en tubeless histoire de remettre un petit coup pour me traîner jusqu’au 2° ravito (très bien garnit d’ailleurs) et la je démonte pour y mettre une chambre. Les VTT sont bien chargé de boue, plus collante que liquide. On aura droit a un passage à gaie (un bon 60 cm de fond) qui ne se refuse pas. Une petite goutte d’huile après ça aurait était la bien venue. (il faut que je me trouve un petite burette). Plusieurs kilomètres plus tard, Le manque d’huile se fera sentir l’or d’une très longue ascension. Je suis HS mais pas de crampes comme celles qui me hante depuis le début d’année. Mais qu’est ce que j’ai mal au cul !! Enfin nous y voila, le panneau de Colembert est la, je peut le toucher, et bien non, la flèche part à droit !? Allé un petit dernier chemin, 200 m tout au plus,, 190 m de bourbier !! Une horreur totalement stérile concernant la pratique du VTT, tout le monde le passe a pied ! A moins de chercher un prétexte pour change de dérailleur !
Enfin nous y voila. Il y a une bonne dizaine de tuyau avec une pression phénoménal. Un sandwich saucisse et une boisson. Organisation impeccable. A refaire (entre amis de préférence)