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#1 29-12-2006 10:00:51

admin
Administrateur
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Messages: 942

La merde sable ou 1/2 CBR, 16-10-2005

CR de Daniel

D’habitude, il faut quand même se trouver des motivations de se lever le dimanche matin pour aller rouler. Mais là, la question ne se pose pas ; le fait de retrouver Dom et Christelle pour une rando « dom-i-nique-calle » fut ma motivation principale.
Donc, il est 6h31et 23 seconde quand mon portable-réveil-micro-onde et accessoirement vibro-ma-sœur me dit « Debouuuut la dedannnns !!!!!! ».
Une petite tête par la fenêtre pour voir le temps qu’il fait. Il ne pleut pas ç’est déjà là « l’essence-ciel », par contre il fait froid.
Je charge ma voiture de tout le barda, accroche le vélo et prend la route pour Sebourg place du Triez un des hauts lieu des rendez-vous de la chti-connection.
J’arrive à 8h05 et des poussières, 5mn de retard sur l’horaire prévu. Dom et Christelle sont déjà sur place entrain de se préparer. Bonjour tout le monde, préparation du bike et quelques tours de roues pour confirmer que tout est ok.
Et c’est parti.
Présentation par Dom de la physionomie du parcours et de l’objectif du jour a savoir « la mer de sable » - ça me réchauffe quelques peu- de savoir que nous allons à la mer, sable chaud, cocotier et jolie pépé en monocunu………..heu kini.
40km pour atteindre la plage, nous commençons par sortir du village pour rejoindre les sentiers. Ce début de parcours est d’un relief assez vallonné ou les descentes succèdent aux montées pour finir par s’aplanir pour le presque restant de la rando. Mais il faut quand même que je vous raconte la dernière cote, celle ou Dom nous chauffe à blanc pour qu’on se la joue façon Tourmalet lors du tour de France lopette. J’ai un petit avantage sur Christelle au bas de cette montée mais elle ne dure pas bien longtemps a environs a mi-parcours je sens Christelle revenir dans ma roue ; a ce moment là je suis à bloc je ne peu en rajouter plus sous la pédale mon cardio affiche 179 puls. Sur les derniers mètre elle l’emporte nettement non pas d’une roue ou d’un boyau (quoique chez c’est pas courrant) mais au moins de deux vélos.
Comme je l’annonçais plus haut, nous laissons place au plat pays. Je reconnais Quièvrechain ville frontalière que j’appelle communément « Crève-le-chien ».
Nous n’entrons pas pour le moment chez nos amis Belge, nous continuons notre chemin en pays Gaulois. Les chemins se diversifient, entre les sentiers d’exploitations agricoles et les friches industrielle quelques portions de goudrons pour faciliter le transit. Chabeau - Latour cuvée 2005 se présente à nous, je ne connaissais pas du tout ce site, au vu du nom j’aurais pensé à quelques terre vinicole. Il faut quand même dire que Chabeau latour ça sonne pinar comme nom. Non ?
De grandes étendues d’eau ou des huttes de chasse au gibier d’eau sont éparpillées. Et si je me souviens bien, c’est aussi dans ce parc naturel que nous sommes passez à proximités d’un terril dont je ne me souviens plus du « comment t-est-ce-qu’il s’appelle ».
Au détour d’un sentier nous entrons en Belgique, c’est facile à reconnaître leurs chemins communaux (si ont les appelle comme ça chez eux) sont fait de béton avec des joints régulier, ce qui donne l’impression de rouler sur un chemin de fer pour voiture..
La foret de Stambruge (excusez l’orthographe) se présente à nous, avec un panneau indiquant « Mer de sable ». On sent que nous sommes non loin de la plage, les chemins que nous passons dans les bois sont sablonneux. La mer de sable est a porter de nos yeux. Mais là……là…….là devant moi une merde de sable avec une grande flaque d’eau. C’est pas très joli, c’est même pas beau du tout. Une plage clairsemée de champignon orange, de hautes herbes et la foret pour clôturer cette espace. Vu du ciel ça doit ressembler à une foufoune de vieille-ménauposé ravagé par des ulcères vaginaux à pigmentation orangé.
Pour combler la petite pause que nous nous accordons, une séance photo s’impose.
Et nous voilà reparti, nous entamons les chemins de retour. On emprunte encore un petit moment la foret qui nous mène sur la route à lopette. Et a propos de lopette, je vois mes deux comparses s’agiter épris de quelques démangeaison lopétique (une maladie de notre nouvelle ère qui commence a gagner bon nombre de vététistes). Ils accélèrent de plus en plus, au point que j’ai du mal à les suivre, ils remontent très rapidement un groupe de lopette qu’ils déposent gentiment. Moi, j’fait s’que j’peu, j’en vois un (de lopette) dans ma ligne de mire, je vais l’manger tout crute, sûrement une lopette quinquagénaire voir centenaire. J’ai pas eu le temps de le rattraper le bougre de c….., il tourne sur un chemin à droite juste au moment où je le reprenais. Dom et Christelle sont déjà bien loin. Ils m’attendent car maintenant il faut descendre le canal de je ne sais plus quel nom zaussi. Les chemins qui longent ses canaux s’appellent des dravel si j’ai bien retenu la leçon (rectifier le cas échéant), sont d’une propretés autre que nos chemins de halage en France. 5km de canal, des sentiers comme pour venir, des pavés dont j’ai horreur, quelques passages techniques pas très appréciés par Christelle et nous voilà en vu du clocher de Sebourg.
Christelle et moi sommes entamés par la fatigue. Des maux de jambes pour Christelle, une fatigue physique et un gros mal de cul pour moi, mais nous préparons le sprint final quand Dom nous indique les 200 mètres restant. Christelle me regarde, je me positionne dans sa roue et l’accélération commence progressivement. Je me met à sa hauteur à l’abord du dernier virage que Dom nous indique. Je mets le bon braqué et lance le sprint à la sortie du virage, j’entends Christelle pester et s’arrêter car elle vient certainement de dérailler. Je gagne le sprint final.
Comme ça nous somme à égalité.
Nous voilà au voiture, on "sebourg" la gueule avec ce qu’il reste de nos camelbak.
Il est temps de ranger tout le matériel.
Au bilan 70km avec du soleil toute la matinée, 18.5km/h de moyenne.
Une très bon dimanche matin au grand air.

Merci a Dom et Christelle

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